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A Museum at the Crossroads of Landscapes
The architecture of the Musée national des beaux-arts du Québec embodies a subtle harmony between history, art, and landscape. Its pavilions, like chapters in a timeless narrative, unfold gracefully within the Plains of Abraham. Each pavilion offers a unique signature while blending seamlessly into its surroundings: the classical elegance of the Gérard-Morisset Pavilion, the bold modern light of the Pierre Lassonde Pavilion (OMA + Provencher Roy Architects, 2016), the transparency of the Central Pavilion currently undergoing demolition (Dorval et Fortin Architects, 1991), and the transformed serenity of the Charles-Baillairgé Pavilion (Charles Baillargé, Architect, 1867), once a prison now repurposed as a museum space. Together, they invite immersive contemplation, where memory and innovation meet in an exceptional natural setting.
The aerial photography series “A Museum at the Crossroads of Landscapes” celebrates this unique site and the architectural richness of the museum amidst the brilliance of the Canadian autumn, a season renowned for its vibrant display of colors. The museum is portrayed as a point of articulation between three distinct landscapes: the urban fabric of Quebec City, the natural expanse of the Plains of Abraham, and the fluvial panorama of the St. Lawrence River.
The series also captures a pivotal moment in the museum’s architectural and identity evolution. The former Central Pavilion, inaugurated in 1991, is being demolished to make way for the future Riopelle Pavilion (FABG Architects, 2026), which will redefine its horizon. Stripped of the glass structure that once adorned it, the hexagonal concrete core stands exposed, revealing its raw brutality within a sensitive environment—a crucial phase in this ambitious project, marked by history and renewal.
Important note:
No photographs were altered in Photoshop after capture. The images remain natural, with only minor light adjustments to preserve the essence of the original shot.
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Un Musée à la croisée des paysages
L’architecture du Musée national des beaux-arts du Québec incarne une harmonie subtile entre histoire, art et paysage. Ses pavillons, tels des chapitres d’un récit intemporel, se déploient avec élégance au cœur des plaines d’Abraham. Chacun offre une signature singulière en s’inscrivant harmonieusement dans le paysage : la noblesse classique du pavillon Gérard-Morisset, la lumière moderne et audacieuse du pavillon Pierre Lassonde (OMA+Provencher Roy architectes, 2016), la transparence du Pavillon Central actuellement en cours de démolition (Dorval et Fortin architectes, 1991) et la sérénité transformée du pavillon Charles-Baillairgé (Charles Baillargé architecte, 1867), anciennement une prison métamorphosée en pavillon muséal. Ensemble, ils composent une invitation à une contemplation immersive, où mémoire et innovation se rencontrent dans un cadre naturel exceptionnel.
La série photographique aérienne « Un Musée à la croisée des paysages » célèbre ce site unique et la richesse architecturale du Musée à travers l’éclat de l’automne canadien, saison prisée pour son spectacle de couleurs vibrantes. Le Musée y est présenté comme un point d’articulation entre trois paysages distincts : le cadre urbain de la ville de Québec, la nature des plaines d’Abraham et le panorama fluvial du fleuve Saint-Laurent.
Cette série capture également un moment charnière dans l’évolution architecturale et identitaire du Musée. L’ancien pavillon central, inauguré en 1991, est en cours de démolition pour faire place au futur pavillon Riopelle (FABG architectes, 2026), qui redessinera son horizon. Dépouillée de sa verrière qui l’habillait autrefois, la structure hexagonale de béton apparaît à nu, révélant sa brutalité dans un environnement sensible – une étape cruciale de ce projet ambitieux, empreinte d’histoire et de renouveau.
Note importante :
Aucune photographie n’a été maltraitée sur Photoshop après la prise de vue. Les photographies présentées demeurent naturelles et seuls des ajustements mineurs de lumière ont été apportées afin de conserver l’essence de la prise de vue.